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Prénom : Sho'Naal
Âge : Inconnu
Race : Dragon
Camp : Elle est le dragon protecteur des Elfes

Quelques traits de caractère :
Hautaine - Fière - Sage - Caractérielle

Ce qu'il faut savoir : De l'histoire de Sho'Naal, on ne sait pas grand chose. Ni même de Sho'Naal en général, d'ailleurs. Les dragons ont toujours été mystérieux quant à ce qu'ils étaient, donnant de temps à autre une ou deux informations les concernant. Elle n'y fait pas exception.
Résidant en plein coeur du Royaume Elfique depuis aussi loin que l'on s'en souvienne, elle s'est elle-même auto proclamée, pour une raison que l'on ignore encore à ce jour, leur protectrice. Ce qui a tout de même de quoi désarçonner, quand on connaît la neutralité légendaire de ces êtres immémoriaux et leur capacité à ne s'occuper que d'eux même sans prêter d'attention particulière aux autres, trop insignifiants à leurs yeux. Peut-être a-t-elle été amusée par le comportement du peuple des Longues Oreilles, ces derniers vouant à ceux de sa race un culte et une adoration sans pareille ? Nul ne le sait vraiment. Toujours est-il qu'elle a pleinement prit la possession de l'Arbre Lieur de Vie, y établissant son territoire et ne permettant à nul autre qu'elle d'y pénétrer. Même Eowyn, sa petite privilégiée, s'en voit refuser l'accès.
De temps à autre, Sho'Naal s'amuse à accorder quelque faveur à ses chers protégés. Leur donnant à chacun le droit de lui poser une question à laquelle elle seule pourrait y répondre, elle peut ainsi sonder leurs esprits pour voir ce qui les préoccupe le plus, ce qu'ils font passer en priorité avant tout au point de désirer savoir l'exacte vérité en la lui demandant.

Pour ce qui est du reste... N'oubliez pas que Sho'Naal est une créature noble d'esprit comme de corps. Comme tous ceux de sa race, elle se sait supérieure aux Elfes et son comportement le montre largement. La moindre petite remarque sonnant désagréablement à ses oreilles, et vous courez le risque de subir son courroux. Elle n'hésite pas à tuer pour un rien, malgré l'amour qu'elle porte à cette peuplade sylvestre. Il y a des limites à tout, tout de même. Et bien fou celui qui oserait la contredire.